Une recomposition institutionnelle pensée pour la stabilité
La nouvelle architecture de la Commission repose sur 12 membres effectifs, chacun accompagné d’un suppléant afin d’assurer la continuité des travaux. L’équilibre linguistique est strictement respecté : six francophones et six néerlandophones. Chaque grand ministère concerné dispose d’une représentation directe, de la Justice aux Finances, en passant par l’Économie, l’Intérieur et la Santé publique. La Loterie nationale conserve quant à elle deux sièges supplémentaires.
Ce choix structurel illustre une volonté claire : élargir les points de vue et refléter la pluralité des enjeux liés aux jeux de hasard. En intégrant explicitement les dimensions fiscales, sanitaires, juridiques et sécuritaires, le gouvernement affirme que la régulation du secteur ne peut plus être réduite à une simple problématique de finances publiques. Elle touche désormais aux questions de santé et d’ordre public, en cohérence avec les préoccupations européennes.



























